Il s'agit de Victoria Grant, une jeune canadienne de 12 ans, qui explique simplement l’escroquerie des banques avec la privatisation des dettes publiques et ce qui fait qu'aujourd'hui plein d'états sont surendettés en même temps. Elle propose donc de ne plus cautionner ce système généralisé dans la plupart des pays du monde, notamment en 1973 en France avec la loi Giscard Pompidou Rothschild :
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En me connectant à mon livret monabanq j'ai eu un petit message récapitulant la liste des taxes qu'on me prenait, si la plupart me sont connues (et en constante hausse depuis des années) : CSG (contribution sociale généralisée), CRDS (contribution remboursement dette sociale), PS (prélèvements sociaux, on sait même pas pourquoi et ça donne droit à rien), CRSA (contribution revenu de solidarité active) ...
J'ai vu une nouvelle taxe au milieu de tout cela : CAPS (contribution additionnelle) cf. copie d'écran ci-dessous.
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Les marchés avaient visiblement eu largement le temps d'anticiper la dégradation de la note de la France (depuis le temps qu'on parle de la perte du triple A) et au lieu de chuter après la perte du triple A + perspectives négatives, les marchés ont décidé de grimper.
Pour autant, rien n'est résolu et ça pourrait n'être que le début (cf. perspectives négatives de S&P) d'une série de dégradations pour la note de la dette française :
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Je dois l'admettre : le titre de mon article est un petit peu ironique ;)
J'ai vu dans les actualités hier et ce matin (news via facebook puis newsletter de lavieimmo) qu'une majorité de français n'a pas les moyens d'acheter d'immobilier, c'est le PDG de nexity qui dit que 85% des français n'ont pas les moyens de s'acheter un logement, tiens donc ! Est-ce surprenant ? Non, évidemment.
Lire la suite de Immobilier : 85% des français ne peuvent plus acheter, surprise !
J'aimerais revenir sur un "détail" qui a changé beaucoup de choses pour l'accroissement spectaculaire de la dette française et pas forcément connu des plus jeunes, le problème de la dette actuelle s'est construit et a été généré sur plus de 30 ans.
La politique de ces 38 dernières années est bien plus à blâmer que la réaction des agences au cours de ces dernières années 2010/2011(elles ne font que constater l'étendue des dégâts et le risque sur la solvabilité), si on ne voulait pas en arriver là, c'était bien avant qu'il fallait réagir, "nous" (gouvernements successifs de la France) avons donné le bâton pour se faire battre.
Tout d'abord, un graphique sur une trentaine d'années qui en dit long sur l'évolution de la dette publique française :
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Les banques depuis un moment évitent de valoriser leurs actifs délicats en "mark to market" (valorisation au cours du marché) et valorisent en "mark to model" (valorisation selon un modèle).
Pour moi le seul cas où il est raisonnable de valoriser en "mark to model" c'est en l'absence de marché, de transactions possibles.
Exemple : la résidence principale, tant qu'on l'a pas vendu et qu'on a pas décroché des acheteurs réels à un prix donné, on peut la compter au prix de revient, il n'y a pas de "cours" exact qu'il soit possible de consulter, peu de liquidités, un marché approximatif difficilement consultable pour un bien donné (on peut savoir l'historique des prix échangés sur la résidence principale, mais savoir combien on pourrait le vendre, là ça devient approximatif).
Intégrer une moins-value potentielle ou plus-value potentielle en l'absence de transaction me parait plutôt aventureux, si il y a plus-value globalement ou moins-value globalement, on le saura quand la transaction sera finalisée, pas avant.
Il me semble dès qu'il y a un cours consultable et négociable, alors on peut valoriser en "mark to market", refuser d'intégrer les moins-values potentielles que l'on peut constater au bilan, c'est faire un peu l'autruche :
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Les dividendes ne m'ont jamais vraiment convaincu, puisque c'est déduit automatiquement du cours, on gagne rien si le cours ne
grimpe pas dividendes déduits.
Je leur préfère les gains encaissés : de l'argent disponible à tout moment pour pouvoir replacer sur un autre placement et faire des intérêts composés. Foin engrangé ne craint pas la gelée ...
Je vais prendre un exemple avec un même parcours sur une action mais un comportement différent :
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