Les banques depuis un moment évitent de valoriser leurs actifs délicats en "mark to market" (valorisation au cours du marché) et valorisent en "mark to model" (valorisation selon un modèle).
Pour moi le seul cas où il est raisonnable de valoriser en "mark to model" c'est en l'absence de marché, de transactions possibles.
Exemple : la résidence principale, tant qu'on l'a pas vendu et qu'on a pas décroché des acheteurs réels à un prix donné, on peut la compter au prix de revient, il n'y a pas de "cours" exact qu'il soit possible de consulter, peu de liquidités, un marché approximatif difficilement consultable pour un bien donné (on peut savoir l'historique des prix échangés sur la résidence principale, mais savoir combien on pourrait le vendre, là ça devient approximatif).
Intégrer une moins-value potentielle ou plus-value potentielle en l'absence de transaction me parait plutôt aventureux, si il y a plus-value globalement ou moins-value globalement, on le saura quand la transaction sera finalisée, pas avant.
Il me semble dès qu'il y a un cours consultable et négociable, alors on peut valoriser en "mark to market", refuser d'intégrer les moins-values potentielles que l'on peut constater au bilan, c'est faire un peu l'autruche :
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Les dividendes ne m'ont jamais vraiment convaincu, puisque c'est déduit automatiquement du cours, on gagne rien si le cours ne
grimpe pas dividendes déduits.
Je leur préfère les gains encaissés : de l'argent disponible à tout moment pour pouvoir replacer sur un autre placement et faire des intérêts composés. Foin engrangé ne craint pas la gelée ...
Je vais prendre un exemple avec un même parcours sur une action mais un comportement différent :
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Suite à mon séjour en Espagne et une réalisation d'une partie de mon projet immobilier (j'ai acheté un appartement en Espagne lors de ce séjour "prospections et vacances" et je suis actuellement en France pour m'occuper de choses diverses avant de repartir en Espagne pour continuer à y vivre) et suite à la rechute des marchés j'ai de nouveau viré un peu d'argent sur mon compte-titres afin de faire fructifier un peu de cash disponible, cela faisait un moment que je n'avais pas refait un bon petit trade casino tranquille histoire de faire fructifier un peu des liquidités.
J'avais en effet décidé en janvier 2011 d'arrêter le trading pour compte propre.
En attendant de pouvoir réaliser la totalité de mon projet immobilier, je n'ai pas résisté à la tentation de refaire un petit trade casino pour encaisser un peu d'argent court terme en dehors des promos livrets et assurances-vies fonds euros.
Ceci ne veut pas dire une reprise durable du trading pour le moment, juste faire un peu faire fructifier le capital non placé sur promos en attente de la réalisation de mon projet.
En attendant que la bourse veuille bien rechuter, en dehors de quelques petits achats reventes et ce dernier petit trade au casino de la bourse de Paris ce 2 septembre 2011, je reste cash (aucun titre en portefeuille) pour le moment, me disant qu'il reste encore du potentiel à la baisse :
- Mise sur la table du casino de la bourse de paris : 800 euros
- Mise récupérée en se levant de la table du casino de la bourse de paris : 800 + 80 soit 880 euros
- Support financier : produit dérivé (warrant call cac 40) sur indice cac 40
- Gain encaissé en % : +80 euros net de frais soit +10% net
- Durée de cette partie autour de la roulette : environ une minute d'engagement entre l'achat et la revente.
Copies d'écrans des dernières opérations du compte-titres et du portefeuille en fin de séance en étant resté cash :
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